Une jeune et belle veuve est venue au cimetière pour rendre visite à son mari, mais avant de partir, elle a fait quelque chose d’inattendu. Un jour, quelqu’un lui a demandé pourquoi elle faisait cela.

Chaque semaine, cette femme venait sur la tombe de son défunt mari. Elle arrangeait soigneusement les fleurs, polissait la pierre tombale jusqu’à ce qu’elle brille et restait debout en silence, profondément plongée dans ses pensées.

En ces moments-là, elle avait l’impression que le monde entier cessait d’exister pour elle.

Un visiteur âgé du cimetière, qui venait souvent voir ses proches, remarqua quelque chose d’étrange : malgré ses soins, la veuve repartait toujours en restant face à la tombe.

Finalement, la curiosité l’emporta, et un jour il s’approcha d’elle alors qu’elle se dirigeait vers la sortie.

« Pardonnez-moi de vous déranger, madame », commença-t-il respectueusement. « Je vous observe depuis un certain temps. Votre dévotion à la mémoire de votre mari est admirable… Mais une chose continue de m’intriguer : pourquoi partez-vous toujours en regardant la tombe ? »

Sa réponse le laissa sans voix Découvrez la suite dans les commentaires

La femme esquissa un léger sourire et le regarda droit dans les yeux.

« Vous savez, mon mari disait toujours que mes courbes étaient si belles qu’elles pourraient même ressusciter un mort… »

Elle fit une pause, puis ajouta avec un sourire malicieux :


« Alors, je préfère ne pas risquer de vérifier cela en vrai. »

L’homme resta figé en comprenant le sens, puis éclata de rire de bon cœur. La veuve lui fit un clin d’œil et s’éloigna tranquillement, comme toujours — sans se retourner.

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24 heures sur un tracteur-tondeuse lancé à 90 km/h : dans les Ardennes, une course aussi loufoque que sérieuse
De la boue, des équipes et des tracteurs-tondeuses qui tournent jour et nuit sur un circuit de 3,7 km : le temps d'un week-end, un petit village de 59 habitants accueille une course insolite aux airs de 24 Heures du Mans.
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Il la dépose à la station et s’éloigne en lançant des « Youpi ! Yahoo !» à tout vent.

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- Je ne sais pas ! Rien du tout ! J’étais derrière lui sur le cheval, les bras passés autour de sa taille, et je me tenais au pommeau de sa selle

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